di notte, tutti i gatti sono grigi (emilia)

Vos corps l'un contre l'autre dansant en rythme de la musique, tu sens que la tension avait monté d'un certain cran et tu ne voulais pas que ça redescende. Alors tu le laisses poser ses mains sur tes hanches approchant vos corps. Tu lui souris alors dans ta tête tu te répètes alors que c'est certainement le moment de passer le cap, après tout, il faut bien le faire un jour et quoi de mieux que d'entrer à l'université en étant plus vierge. Tu viens alors lui demander s'il connait un en droit plus calme et tu vois à son regard et à son sourire qu'il était plutôt content de cette proposition que tu venais de lui faire. Ta main dans la sienne tu te laisses alors entrainer dans un endroit bien plus calme et tu te retrouves le dos plaqué contre un mur et tu le regardes en hochant la tête. "Oui ça fera l'affaire" Rien de très glamour mais en vrai tu t'en moquais terriblement. Tu sens ses lèvres contre les tiennes et tu réponds à son baiser venant plaquer son corps contre le tien alors que tes mains s'essayent à parcourir son corps sans trop savoir quoi faire exactement, on pourra mettre ça sous le coup de l'alcool et de l'excitation et non de ton manque d'expérience. Son dos, son torse, tu viens donc découvrir délicatement celui qui sera donc ton premier.

tw : à partir de cette réponse, relation sexuelle

T’avais laissé la musique de côté, t’en pouvais plus, t’avais chaud mais dans tous les sens du termes. En cette période, à Florence, il faisait une sacré chaleur mais danser avec la blonde, ça t’avait donné encore plus chaud. Alors tu avais pris sa main pour l’emmener plus loin, pour que vous ayez un petit moment loin du monde. Certes, c’était une petite allée mais tu savais que personne n’allait passer par là, tout le monde était concentré dans la soirée qui avait lieu sur la grande place. Alors t’avais plaqué Emilia contre le mur et tu l’avais embrassé. T’étais maintenant plus arrêtable. Les yeux dans les siens, elle te confirmait que l’endroit était très bien. « Parfait » soufflas-tu en posant tes lèvres sur son cou. Ses mains à elle commençaient à parcourir ton corps, délicatement, comme une petite fille qui ne savait pas quoi faire. Mais vous étiez bien alcoolisé, alors tu mettais tout ça sur ce compte-là. De ton côté, tu commençais à remonter sa robe, pour passer ta main délicatement sur son ventre et en descendant tout doucement. « Je peux ? » demandas-tu alors que ta main se trouvait sur le tissu de son sous-vêtement. Chaque étape détaillée, tu voulais pas aller trop loin. Si elle voulait partir, elle pouvait le faire quand elle le voulait même si tu en sortais totalement frustré.

L'alcool ne t'aidant pas vraiment à y réfléchir, tu venais de sauter sur une occasion qui ne se représentera plus à toi si tu ne la saisis pas. Collée contre ce mur tu embrasses avec plein de désir Fede que tu ne connaissais pas il y a encore quelques heures. On pourrait te prendre pour une fille facile ou tu ne sais quoi, mais là à cet instant tu t'en moquais terriblement, l'alcool faisait effet chez toi, tu n'avais pas les idées très claires. Vos mains qui glissent l'une sur l'autre tu lui souris délicatement alors que tu le sens s'approcher de ton intimité. A part toi au final, en pleine découverte de ton corps, aucun homme n'avait été aussi proche. Tu hoches la tête alors à sa question, ravie qu'il te demande ton consentement. De ton côté tu ne savais pas trop comment agir, au final on ne vous apprends pas ce genre de chose suivant ton instant tu retournes l'embrasser alors que tu sens ton corps réagir quand sa main glisse entre tes jambes. Un léger soupire de plaisir s'échappe à travers tes lèvres et tu profites simplement de l'instant.

Tu l’avais plaqué contre un mur, goûtant à ses lèvres pour la première fois et elles avaient un goût divin. Tu voulais quand même pas forcer le truc. Elle était légèrement plus jeune que toi, t’espérais juste pas être son premier. Elle semblait être un peu novice sur le sujet, tâtonnant sans trop savoir quoi faire. Alors que tu prenais possession de ses lèvres, tes mains descendaient dans sa culotte, sous sa robe. Tu lui demandais quand même d’abord si elle était d’accord pour aller plus loin. Et en effet, elle l’était. Alors tu posais tes lèvres dans son cou, et tes mains commençaient à se frayer un chemin dans son intimité. D’abord tu caressais son sud, doucement, en faisant des petits vas et viens, avant d’insérer un doigt à l’intérieur pour lui donner du plaisir. Un soupir s’évacuait de sa bouche, alors tu étais satisfait. Tu continuais à lui faire du bien, alors que toi, tu devenais étroit dans ton jean. C’était bordel de bon, de faire plaisir à quelqu’un mais toi aussi t’en pouvais plus. Alors tu déboutonnais ton pantalon, pour te faire de la place et ne plus être aussi serré. « T’es belle » soufflas-tu à son oreille alors que tu continuais à lui faire du bien.

T'étais certainement très maladroit dans ce que tu faisais actuellement, aucune expérience intime jusqu'à maintenant, tu étais tellement novice que tu ne savais absolument pas ce que tu pouvais faire de tes mains. Tu te laissais porter par l'envie du moment, le désir et l'alcool que tu avais bu depuis ce début de soirée. Tes lèvres sur les siennes un moment, tu finis par lui donner l'autorisation d'aller plus loin et il ne se fait pas prier bien longtemps alors que tu sens ses doigts au niveau de ton intimité. Un soupire de plaisir s'échappe de ta bouche alors que tu ressens tout le stress et la pression que tu avais s'évacuer à cet instant. Ses lèvres sur ta peau, tu fermes alors les yeux en découvrant ce qu'est le plaisir que chaque personne évoque lorsqu'ils parlent de rapports sexuels. Tu souris face à son compliment alors que tu ne peux t'empêcher de prendre plaisir avec ce qu'il fait. L'une de tes mains fini par se frayer un chemin vers son sexe et tu viens enrouler ta main autour en commençant de léger mouvement de vas et vient, essayant de montrer que tu avais de l'assurance et que tu savais t'y prendre, ce qui n'est absolument pas le cas en cet instant. Si les choses étaient mal faites, tu pourrais très clairement mettre ça sous le fait que tu ais trop bu. Pourtant t'essayes de t'appliquer et t'espères vraiment que tu ne t'y prends pas trop mal.

A chaque étape, tu demandais à la blonde si tu pouvais continuer. Elle ne semblait pas contre l’idée alors tes doigts se frayaient un chemin sous sa culotte, commençant une danse endiablée avec ses parties intimes. Caressant doucement pour commencer, tes doigts finissaient par s’immiscer en elle. Et tu voyais dans son regard qu’elle aimait beaucoup cet instant. Et toi aussi, tu avais le regard en feu. Alors tu continuais à lui faire plaisir, doucement mais toujours dans son consentement. Puis, à son tour, elle venait frayer un chemin dans ton caleçon. Et quand elle venait empoigner ton sexe pour faire des vas-et-viens avec sa main, tu grognais de plaisir. Elle s’y prenait bien, peut-être un peu maladroitement, mais vous aviez énormément bu. Tes lèvres contre les siennes, tu viens déboutonner correctement ton pantalon et descendre ce dernier avec ton caleçon à tes chevilles. « J’ai tellement envie de toi » soufflas-tu contre ses lèvres. Alors tu descendais sa petite culotte et tu attendais son feu vert. Tu enfilais d’abord un préservatif que tu avais dans ton porte monnaie, avant toute chose. Quand elle te donnait son accord, tu commençais à t’insérer doucement en elle. Tu prenais énormément ton pieds, tu la faisais doucement grimper contre le mur à chaque coups de rein, tout en délicatesse mais tu avais besoin d’extérioriser tes pulsions.

Qui aurait cru que ce soir tu ferai l'amour pour la première fois? Enfin peut-on appeler ça faire l'amour? T'en es pas vraiment sûr, mais tu allais perdre ta virginité ce soir et c'était tout ce qui comptait pour toi, peu importe le contexte ou la personne. Ce n'était qu'un rite de passage que tu devais avoir. Main sur son sexe tu commences des vas et vient alors qu'il s'amuse avec toi également, la pression monte, la tension monte d'un cran quand il dit qu'il a envie de toi. "Moi aussi" Alors tu le sens enfiler une capote et en souriant tu lui donnes comme ton accord en hochant la tête, lèvre inférieure mordue, tu le sens s'insérer en toi. Un léger gémissement s'échappe de ta bouche, surprise par la sensation, peu agréable sur l'instant mais petit à petit tu t'en habitue. Doucement il fait des vas et vient en toi et doucement ton corps se rempli alors de cette sensation de plaisir, de plénitude. "Oh c'est trop bon..." Tu gémis toujours alors que tes mains s'agrippe à sa nuque et que tu viens l'embrasser à nouveau laissant alors le plaisir envahir tout ton corps, appréciant chaque seconde de ce qu'il se passe. Tu étais désormais une femme Emi, découvrant la vie, les plaisirs, prête à être une véritable adulte.

T’es jeune et con à ce moment là mais c’est pas grave t’as envie de kiffer un peu. Et puis, elle est belle Emilia, alors t’as pas envie de te priver. D’autant plus qu’elle aussi en a envie. Elle te le confirme d’ailleurs. La pression monte, la tension monte et tu prends un pieds incroyable quand elle passe ses mains autour de ton engin. Un peu maladroite, mais tu te dis que c’est à cause de l’alcool. C’est pas grave, tu lui en veux pas. Une fois que tu sentais que tu étais bien droit, tu enfilais une capote avant de totalement baisser sa culotte. Puis, tu t’insérais en elle, attrapant une de ses jambes pour qu’elle soit un peu plus haute. Tu commences des vas-et-viens en elle, la regardant pour voir si elle prenait autant son pieds que toi et visiblement oui. Ta respiration se saccade, ton corps commence à bien transpirer, ça montre que tu aimes ça. Elle vient t’embrasser sauvagement et tu réponds à son baiser. Puis, tu passes une main dans se cheveux et tu donnes des coups de reins encore plus fort. Tu colles ton front au sien et tu la regardes dans les yeux. « T’aimes ça ? » dis-tu en te mordant la lèvre. Tu laisses une de tes mains se balader sur son corps en attendant, attrapant son sein à travers sa robe et commençant à le malaxer doucement. Tu voulais qu’elle prenne son pieds mais tu voulais aussi arriver à l’extase.